Chapitre 5

Elvénhème

En arrivant, nos deux amis n’étaient pas passés inaperçus. Tout le monde avait vu passer l’ombre du dragon au-dessus de la ville quand il dut faire demi-tour pour atterrire. Mais cela les importait peu, car ils n’auraient pas pu arriver dans ce village inaperçu. Les habitants se connaissaient tellement, qu’un visiteur était reconnu avant même avoir posé pied à Elvénhème.
Elvénhème était un grand village d’apparence assez rustique. Les maisons étaient grandes avec des toits recouverts de paille. Il y avait beaucoup de granges, étonnement grandes par rapport aux champs et aux pâturages qui entouraient Elvénhème. Il y avait beaucoup de maisons différentes, des grandes et belles avec des jardins et d’autres plus petites avec des potagers. C’était une journée ensoleillée et chaude. Nous deux amis entrèrent dans le village tout en observant les environs. Les habitants les regardaient passer, en disant des messes basses à leur passage. Eyaël et Elanor décidèrent de se trouvé une auberge, mais ils louraient qu’une chambre pour une personne. Eyaël dormirait dehors dans la forêt ou dans une grange et Elanor dans l’auberge. Tout en marchant, ils arrivèrent devant une auberge. Elanor lu :
Auberge de Nidoss !
Ils se regardèrent, entrèrent.
C’était une petite auberge aux allures accueillantes et chaleureuses. Quand ils entrèrent, ils durent s’arrêter sur le palier de la porte pour que leurs yeux s’habituent à l’obscurité. Au bout de quelques instants ils purent observer la scène qui se présentait à leurs yeux.
L’auberge, se présentait très simple. Avec des tables en bois entourés de chaises et de tabourets. En face d’eux brûlait un petit feu de cheminée, qui était la pour faire un peu de lumière et accentué le charme de ce lieu. En hiver ils s’en servaient même pour faire cuire des repas, mais par ces temps ils n’utilisaient que la cuisine. A leur gauche se trouvait le bar derrière lequel il y avait un homme un peu gros, mais avec un sourire aux lèvres. Il avait les joues rosées par la chaleur de l’auberge mais sûrement aussi par l’alcool. Il essuyait sont éternel verre tout en observant la salle pour voir s’il y avait un client qui désirait quelque chose. A leur droit, une tablée d’elfes qui discutaient paisiblement et discrètement tout en buvant un liquide blanchâtre qui ressemblait à de l’hydromel. Tandis que tout au fond de l’auberge il y avait une troupe de gobelins accoudés à une grande table ronde, qui parlait et riaient très fort. Ils buvaient des bières et des mixtures bizarres dont seulement le patron avait le secret. A l’opposé au fond de l’auberge, il restait une petite table de libre où ils décidèrent d’aller s’asseoir. Quand ils furent assis, ils finirent d’observer le reste de l’auberge. A l’entrée il y avait encore une table avec quatre nains qui discutaient joyeusement. Ils buvaient de la bière a grandes gaulées et se racontaient des histoires anciennes. A côté de la table des gobelins il y avait trios orcs, laid comme jamais, qui buvaient un de ces jus bizarres que seul ces êtres puissent avaler. Ils étaient crasseux, sal, ils puaient et bavaient. Ils riaient près qu’aussi fort que les gobelins de la table à côté., mais rien ne pouvais égaler leur laideur. Directement devant la cheminée étaient assis deux hommes qui parlaient très doucement et se retournaient quand ils parlaient pour fixé Eyaël et Elanor. Déjà à leur passage pour regagner la table ces deux hommes leur avaient déjà jeter des regardes douteux. Mais Eyaël et Elanor n’en firent pas cas et commandèrent à boire. L’aubergiste fort sympathique arriva avec leurs boissons et les posa sur la table. Elanor lui demanda alors :
- Vous resterait-il une chambre de disponible ?
- Oui, il me reste une chambre, ce serraient pour vous deux ? demandant l’aubergiste
- Oui, ce serrait pour nous ! Mais nous ne savons pas combien de temps nous restons répliqua Elanor.
- C’est pas grave, j’ai pas besoin de cette chambre pour l’instant. Ça vous coûtera quatre pièces d’or pour la chambre. En ce qui concerne la nourriture, où vous vous débrouillez pour en trouver, où si vous m’avertissez à l’avance je vous prépare quelque chose.
- Merci c’est bien aimable de votre part ! lui répondit Elanor avec un sourire.
- L’aubergiste reparti ce placer derrière le bar et recommença à essuyer son verre.
Il y avait encore un autre homme accoudé au bar. C’était un homme bizarre. Il portait une longue toge noire avec un capuchon, qu’il avait relevé sur sa tête. Il y avait des runes et des broderies sur le bout des manches, au col et au fond de la toge. Il sirotait son verre en faisant semblant de fixé le mur en face, mais en réalité il observait Eyaël et Elanor. Il avait déjà entendu parler des étranger dans le village. En face sur le mur il y avait une glace, Elanor qu avait l’œil vif observait l’homme à la toge par l’intermédiaire du miroir, car il avait remarquer qu’il faisait de même. Elanor ne pouvait pas distinguer une grande partie du visage car l’obscurité l’en empêchait. Il pu juste apercevoir un visage maigre et sec, avec de petits yeux noirs. Pendant le temps où ils s’observaient, ils évitaient toujours de justesse que leur regards se croisent. Mais chose évidente cela arriva, les deux restèrent bloqué et ne purent bouger. Il avait le regard vide et froid. D’un noir profond. Ils se fixèrent pendant un long moment, jusqu'à l’instant où Eyaël donna un coup de coude à Elanor.
- Eh, je te parle !!! dit Eyaël
- Oh! , pardon, je pensais totalement à autre chose lui répondit Elanor distrait et toujours absorbé par le regard de l’homme à la toge.
- Elanor écoute-moi !!! dit Eyaël en le secouant par le bras.
- Oui, oui je t’écoute dit alors Elanor en tournant la tête. Que disais-tu ?
- Je disais donc, lui répondit Eyaël que nous devrions demander où est notre chambre et dire que nous mangeons ici ce soir. Je suis fatigué et voulais aller me reposer un moment dans un lit, car je compte dormire dans le petit bois cette nuit.
- D’accord, allons demander à l’aubergiste de nous conduire à notre chambre,
Ils finirent de boire, se levèrent et se dirigèrent vers le comptoir. Ils demandèrent à l’aubergiste où était leur chambre. Il posa son verre et se dirigea vers l’escalier à gauche du bar. Ils l’informèrent encore qu’ils volaient manger le soir, mais rien de très compliqué où imposant.
L’aubergiste les guida jusqu’au fond de l’escalier, s’arrêta et dit :